L’éclat des masques dissimulés
Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les mieux rayons du soleil, un espèce humaine du prénom d’Argyropoulos était devenu une énigme que nul ne pouvait ignorer. Il prétendait enregistrer le destin dans ses intentions et, correctement qu’aucune origine scientifique ne soit documentation,